Les « vaincoeurs », c’est nous

Saint-Valentin

L’amour, le vrai, c’est chaud et c’est bon. C’est parfois même indescriptible à l’aide de simples mots. J’aimerais dédier ce texte à tous les « vaincoeurs » de ce monde. À tous les tourtereaux, les maladroits et ceux qui s’aiment sans détour. À toi qui répands son amour avec autant de ferveur, je t’invite à partager ce texte avec la flamme qui alimente ton cœur.

Nous sommes de ceux qui se battent chaque jour pour que l’amour triomphe et de ceux qui prennent le temps de s’écouter plutôt que de simplement se répondre. Nous prenons le temps d’écrire notre histoire non pas à coup de statuts Facebook, mais dans le moment présent en nous aimant comme les autres ne sont capables d’y croire. Nous sommes de ceux pour qui la Saint-Valentin se fête chaque jour et non une fois par année, entre le 13 et le 15 février.

J’aimerais d’abord te remercier de faire partie de ma vie, tout simplement. Je ne pourrais avoir plus de gratitude d’avoir croisé ton chemin, et les mots me manquent pour définir l’incroyable personne que tu es. Sache que la vie sans toi serait difficile à accepter et que le simple fait de penser pouvoir te perdre m’ébranle au plus haut point. Tes gestes, ta douceur, tes petites manies et ton regard ne sont que quelques-uns des détails qui font de toi le rayon de soleil qui me remplit de bonheur. Ce sont tes petits faits et gestes qui façonnent un peu plus chaque jour la merveilleuse personne que je deviens, et j’accepte pleinement de ne rien tenir pour acquis pour vivre comme si aujourd’hui devenait le hier de demain.

Merci de faire partie de ma vie et de me dire que tu m’aimes autant. De me laisser voir ton âme chaque fois que tu me regardes dans les yeux et de me donner chaque jour l’illusion que notre relation est trop belle pour être vraie malgré cette incroyable réalité. Merci aussi de t’ouvrir à moi comme un livre ouvert, en me laissant parcourir ton coeur pour que j’y écrive notre histoire si douce et sincère.

Sache que je suis heureux de pouvoir occuper tout l’espace du lit le matin quand tu te lèves avant moi pour partir travailler, mais que je finis toujours par prendre conscience que tu n’es plus là, ta présence finissant par me manquer. Tu es la seule, l’unique et irremplaçable personne qui fait battre mon coeur.

Laissons les autres être jaloux de ne pas savoir ce que c’est que d’aimer autant, car en bout de ligne les « vaincoeurs », c’est nous, d’être capables de vivre de si beaux moments.

Source de l’image: Pexels

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