Pas comme la chanson des BB, mais un peu. Comme une espionne de l’amour, je t’aurai caché des tonnes de trucs. Je crois qu’ils m’auraient nui, alors j’ai décidé de les tuer. Donc, tu ne sauras jamais comment mon coeur s’emballait quand je voyais ton nom afficher dans mes textos… et quand tu m’appelais! T’as été le seul homme que j’ai connu à appeler. Entendre ta voix, ca me faisait frissonner de tout mon corps. Tu ne sauras jamais tout ce que j’ai imaginé, notre vie à deux. Dans celle que je voyais, on allait si bien ensemble. On riait, je pleurais presque pas et on s’aimait, si fort…
Tu ne sauras jamais à quel point je cherchais la chanson parfaite (celle qui faisait passer tous mes messages) et ainsi la partager avec toi. On se créait alors un univers rempli de musique. J’essayais d’être unique à tes yeux. Je détestais que tu aies un passé, que tu aies touché d’autres femmes. J’aurais aimé être la seule… et qu’il n’y en ait aucune après moi (désolée d’ailleurs à toutes ces femmes à qui j’ai souhaité du malheur, elles n’avaient que liké une de tes photos…).
Tu ne sauras pas l’effet que tes mains avaient sur moi, je crois qu’elles manipulaient mon âme. Ce que je faisais, disais, pensais, je le faisais en conséquence de toi. Pour que tu m’aimes, avec toute la puissance dont moi, je t’aimais. Tu ne sauras pas non plus tout le mal que tu m’as fait, les déchirures que j’avais à l’intérieur après ton rejet. J’avais une journée de pluie qui perdurait en moi. Plus envie de rire, de sourire, de penser… Tu revenais, tu repartais… le tango du mal.
Tu as su que je n’avais plus envie de danser et de souffrir. C’est alors que tout s’est mis en place… pour que tu ne saches pas à quel point j’aurais été formidable à tes côtés. Oui, j’aurais été la blonde idéale… mais toi, pas le chum qu’on veut au final. T’es une étoile filante, tu me l’avais dit.
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