À toi que je n'ai pas encore rencontré

À toi que je n’ai pas encore rencontré.

J’aimerais te dire que je ne l’ai pas toujours eu facile, mais jamais je ne vais te faire payer pour les bêtises des autres.

J’aimerais te dire que je m’attache facilement. Parfois c’est un défaut, parfois une qualité, mais une chose est sûre c’est que si t’es dans ma vie, c’est que quelque part je trouve que tu es importante pour moi.

J’ai mes excès de folie, je suis un mongol par moments et j’aime agir comme un enfant de quatre ans. Ne sois pas étonnée si j’essaie d’écrire ton nom avec ma soupe alphabet ou si je fais l’hélicoptère avec mon zouizoui en sortant de la douche; c’est l’enfant en moi qui refuse de partir.

Je ne vais pas avoir peur de rencontrer tes parents; la famille pour moi, c’est quelque chose de si important!

Prends-le pas mal si je te demande chaque soir de me raconter ta journée. Même si je ne suis pas là physiquement à chaque seconde de chaque minute de ta journée, j’aime pouvoir me faire le film dans ma tête.

Si quand tu me parles je te regarde avec des grands yeux ronds, ce n’est pas que je suis attardé, c’est que j’aime t’écouter parler.

N’aie pas peur de tout me dire, je suis là pour ça.

Pour moi, une soirée ensemble à écouter des films, c’est une date parfaite (à condition qu’on ait des Gummy Bears)!

Je capote sur les Gummy Bears! C’est tout simplement l’aliment le plus génial au monde. Oui, c’est un aliment, obstine-moi pas sur ça.

Je trouve ça cute que tu aies autant de misère à te servir d’un téléphone cellulaire au point de ne jamais être capable de répondre à tes messages texte le jour même.

Tu peux être sûre que peu importe la blague plate que tu vas avoir à me raconter, je vais toujours la trouver drôle.

Surprends-toi pas si à 1 h du matin je passe te prendre pour aller faire un trip de char juste pour t’avoir à mes côtés quelques heures de plus.